Collection RACINAIRES

 

Des livres sur l’égalité de traitement des êtres vivant sur notre planète

Non à la maltraitance de qui (et de quoi) que ce soit. Nous écrivons ici sur les modalités concrètes mises en œuvre quand il s’agit de respecter et de tolérer tout de bon (sans se payer de mots) les êtres et les populations toujours stigmatisées par les classes hégémoniques.

Clairement, on ne cherchera pas plus à séduire qu’à convaincre, et, encore moins, à “accrocher” (sic !). En revanche, on fabriquera ensemble de la littérature comme enjeu pour la vie et le vivant.
Tout à l’inverse des batailles rangées, nous nous attachons à construire, et non détruire. Nos écrits sont racinaires ici autant qu’ils s'enracinent dans nos vies brutes de toute assignation sociale. Autant qu’ils affrontent les racines du mal que nous font les États. Autant qu’ils se veulent constitutifs d'une réelle ouverture à l’attention de toutes et de tous et en premier lieu les êtres les plus démunis et chassés. 
Autant que le peut chaque personne... et tant qu’il en sera encore temps face aux entreprises de destructions massives sur notre si fragile planète.

Les textes de Racinaires pensent un monde qui ne néglige personne, qui ne dégrade personne, qui n’oublie et qui n’invisibilise personne.

Pour en savoir plus sur les attentes d’ABC’éditions en matière de “littérature vraie”, ce billet est à votre disposition. D'autre part, toute proportion gardée et sans en faire un modèle exclusif, le scénario d’un film comme le dernier en date de Jeanne Herry (Je verrai toujours vos visages), qui traite de la question de la réparation, honorerait notre collection Racinaires (son dossier de presse contient la plupart des idées qui nous tiennent, à ABC’éditions)

Aussi, bienvenue chez nous si votre nouveau texte analyse de manière poussée, avec des arguments contradictoires et nuancés, la situation présentée, ou si vos pages appellent (à) l’imaginaire du lectorat, stimulent sa sensibilité aux espèces vivantes, lui ouvrent de nouveaux horizons, inconnus jusqu’alors, s’il est porteur d’invention, dans le style et dans les images, s’il éveille l’intelligence dans les idées et leurs articulations, s’il récuse les thèmes éculés des passions humaines trop humaines pour s’inquiéter des autres espèces vivantes, oui, cent et mille fois oui, nous avons besoin de ce genre de radicalité-là.

Il n’est plus temps, en effet, de rester aux cadres de ce qui est attendu par les politiques libérales à l’œuvre. Elles sont criminelles, génocidaires, écocidaires. Nous devons trouver les moyens de se tirer de leurs emprises, étouffantes, multiformes, permanentes.

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